SAVOIR MANIER L'HUMOUR
L'Atout Personnel Le Plus Important Bien sûr, la vraie réponse, c'est le bon sens. Mais si vous en êtes déjà dépourvu, vous n'en aurez sans doute jamais, et je ne peux rien dire qui puisse changer cela.À part le bon sens, l'atout le plus important, en affaires, c'est le sens de l'humour, la capacité de vous moquer de vous ou de la situation.
Seul le rire peu dissiper la tension qui monte lors d'une transaction, et vous souhaitez être celui qui contrôle cette force constructrice.
Si vous pouvez attirer l'attention sur ce qu'il y a d'amusant ou d'absurde dans une situation ou une confrontation, si vous pouvez dissiper la tension en amenant l'autre partie à partager votre sentiment, vous serez sûr de prendre le dessus.
Il y a très peu de choses irréfutables, en affaires. C'en est une et je ne l'ai jamais vue échouer.
EN AFFAIRE
L'humour créé l'une des meilleures impressions favorables à long terme. Un simple commentaire humoristique, plein de modestie, fait immédiatement comprendre que vous ne vous prenez pas trop au sérieux, et c'est quelque chose que les gens n'oublient jamais. Cela fait partie de vos TALENTS C'est aussi la meilleure manière de commencer une réunion.
Il n'est pas nécessaire que les gens se tordent de rire, mais une remarque amusante, lancée au début, créera une bonne atmosphère pour tout ce qui va suivre.
L'humour, qui remet tout dans une vraie perspective, est, avec les bénéfices, la chose la plus facile à perdre, en affaires.
EXTRAIT DU SÉMINAIRE -
Le Sens de l’Humour...
- L'ORIGINE du RIRE et de L'HUMOUR - CORRIGER les DEFAUTS par le RIRE - FAIRE BAISSER le SENS CRITIQUE PAR L'HUMOUR - LE RIRE: SUBLIMATION de L'AGRESSIVITÉ - LA CREATIVITE par le RIRE - RIRE de SOI , DEPASSEMENT du RIDICULE - SE LIBERER du STRESS et se SOIGNER par le RIRE - RIEN ne DESARME comme le RIRE - SE METTRE en VALEUR , se FAIRE ACCEPTER SOCIALEMENT - L'HUMOUR en AFFAIRE - RESOUDRE les PROBLEMES par L'HUMOUR, LE MANAGEMENT D'EQUIPE par L'HUMOUR etc...
Rire de nos faiblesses
Il y a quelques années,
la Ford Motor Company traversa une crise durant laquelle les cadres du service comptabilité prirent, littéralement, le pouvoir et commencèrent à fermer les usines ici et là afin de diminuer les frais.
Ils avaient déjà réussi
à fermer définitivement des usines dans le Massachusetts et le Texas et semblaient savourer cette puissance nouvellement acquise.
Robert McNamara,
qui était président de la Ford à cette époque, réunit tous ses chefs de département pour discuter d’une note qu’il venait de recevoir recommandant la fermeture d’une autre usine.
Tout le monde était contre,
mais les prédictions des comptables étaient tellement sinistres que personne n’osait dire franchement son avis.
Pour finir,
un vétéran de la
compagnie, du nom de
Charlie Beacham, dit,
« Pourquoi est-ce que nous
ne fermons pas toutes nos
usines pour faire de vraies
économies»?
Tout le monde éclata de rire.
On prit la décision de remettre à plus tard toute autre fermeture d’usine et les « compteurs de haricots » repartirent travailler pour la firme, au lieu de la diriger.Non mais sans blague ! ...
