Si vous vous accordez le minimum absolu de temps pour faire quelque chose, vous pouvez ensuite vous excuser vis-à-vis de vous-même de vos résultats médiocres en prétextant que vous n'avez pas disposé d'assez de temps. Mais si l'on passe son temps à se lamenter parce qu'on est débordé, il n'en reste plus pour accomplir sa tâche.

Dire; Faire..., Diffère!

Quelques conduites dilatoires caractéristiques

- Ne pas changer un emploi où l'on étouffe.
- Entretenir des relations qui font faillite.
- Rester marié ou célibataire en se contentant d'espérer que le choses iront mieux demain.
- Refuser de s'attaquer de front aux difficultés : rapports sexuels, timidité, phobies, etc.
- Ne pas contrôler des intoxications comme le tabagisme, l'alcoolisme, l'abus de médicaments.
- Remettre à plus tard les corvées - nettoyer la maison, faire des réparations, coudre, tondre la pelouse, repeindre, etc. - dans l'espoir que, si l'on se fait tirer l'oreille assez longtemps, quelqu'un d'autre s'y mettra.
- Commencer votre régime demain ou la semaine prochaine, lundi…par exemple.
- S'ennuyer en permanence.
- Argumenter la fatigue, le sommeil pour remettre les choses à une date ultérieure.
- Tomber subitement malade pour couper à une tâche rébarbative.
- Éviter d'avoir une confrontation, téléphonique, de visu avec un supérieur, une relation, un vendeur ou un prestateur de services en arguant de ses occupations.

Non rien - ni les circonstances, ni les situations, ni les gens - rien ne s’arrange tout seul. Si votre vie s’est améliorée, c’est parce que vous avez fait quelque chose de constructif dans ce but.